Nous avons profité du mauvais temps pour faire une belle ballade qui nous a amené à gravir quelques côtes…

Les plus attentifs d’entre vous auront de suite repéré la couleur du ciel et l’intensité du soleil et se seront demandés « Ai-je bien lu « mauvais temps » ? », oui, oui, car en Provence quand le Mistral souffle, il interdit les nuages mais fait baisser les températures et les gens du coin se plaignent : « Marre du mauvais temps ».

Mais, quand notre vie nous a fait vivre ailleurs, on goûte chaque minute de ce « mauvais temps-là » car on connaît l’autre… Poursuite de la randonnée avec une halte auprès d’aiguiers qui sont des réserves d’eau – couvertes ou non – creusées dans la roche.

Cette prouesse réalisée sans les moyens mécaniques d’aujourd’hui a inspiré notre géant Max qui a repéré un caillou et a décidé de le déplacer

En cheminant quelques kilomètres dans une forêt composée notamment de pins, nous avons été impressionnés par le nombre de chenilles processionnaires (Thaumetopoea pityocampa). Alors qu’habituellement, nous n’en voyions que ça et là, il est clair que cette année une majorité d’arbres sont touchés.

Est-ce une conséquence de plus du réchauffement climatique ?

Nous étions à nouveau accompagnés de mon chien qui n’est pas mon chien et qui s’en est donné à cœur joie !

Bon, après quelques kilomètres à monter, descendre, cheminer en tout sens, le moment du réconfort est venu, pizzas maison :

Et voici en avant-dernière position la photo qui me fait le plus plaisir aujourd’hui, celles des 2 Manuel Martin, je suis si fier du plus jeune, il est vraiment fantastique !

Et, en conclusion bref retour en arrière sur le début de cette belle journée, le soleil a vraiment une relation particulière avec le Luberon

Très bonne journée à tous

Bookmark to